isolation extérieure

Les points de déperditions de chaleur d’une maison sont étroitement liés à l’allongement de la facture énergétique. En effet, une maison gagne en moyenne une réduction de 30% à 60% de sa facture si elle est bien isolée. De tels travaux consistent entre autres à poser ou projeter des matériaux isolants sur les supports muraux ou la toiture. La solution qui permet de ne pas toucher l’empiètement de la surface habitable et semble aussi être performante est l’isolation thermique par l’extérieure. Voici ainsi les essentiels à comprendre dans ce cadre.

Le principe de l’isolation par l’extérieure

S’il y a mille manières d’agencer son intérieur comme les conseils du site style-et-concept.com, les façons de procéder sont particulièrement complexes et limitée chez l’extérieur. Ainsi, lors d’une rénovation extérieure, il faut saisir l’occasion pour entreprendre les travaux d’isolation. Ces derniers consistent à limiter les échanges entre l’environnement extérieur et l’intérieur. La température interne sera maintenue confortable qu’elle que soit celle de l’extérieur. L’été, l’intérieure de la pièce et plus fraîche si l’hiver elle reste chaude.

Quelles sont les conditions d’application des isolants externes ?

Plus commun sur le mur, l’isolation par l’extérieur concerne également la toiture, et les combles. Par ailleurs 30% des chaleurs perdues s’échappent du comble contre 25% au niveau des murs. Les travaux peuvent être initiés dès la construction ou lors de la rénovation. Parfois impliquant des consignes de sécurité lié à la hauteur, des enlèvements de revêtement, de protection de l’environnement, des démarches administratives, mieux vaut ainsi attribuer le travail à un professionnel.

Qu’en est-il des démarches administratives ?

L’isolation entreprise dans le cadre d’une rénovation peut amener à des travaux d’extérieurs conséquent. De plus, la finition des murs conduit souvent à des travaux de peintures ce qui amène à se référer au Plan Local d’Urbanisme. Toutefois, lorsque l’isolation est intégrée dans des travaux d’agrandissement ou extension maison, un permis de construire (40 m2) ou déclaration de travaux (20 m2) restent des impératifs.

Quel isolant choisir ?

En outre à l’optimisation de la performance énergétique, un isolant joue également un rôle d’étanchéité à l’ensemble du bâti. De ce fait, un isolant est résistant aux intempéries et aux séjours permanent d’humidité, de froid et de chaleur et même du vent. Les plus choisis d’entre eux restent le bardage ventilé, le polystyrène extrudé, les isolants minéraux (la laine de verre et de de roche). D’autres qui visent l’écologie et la réduction de la pollution sont également recommandé. On peut ainsi noter la fibre du bois et la cellulose.

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Comment se déroule les travaux ?

Entre deux couches de mur, l’un étant porteur et l’autre de revêtement, on peut insérer l’isolant. C’est le cas d’un enduit ou de bardages ventilés. Les projections d’isolants minérales requièrent un mur parfaitement corrigé avant l’application. Il revient au professionnel de déterminer la nécessité d’une couche supplémentaire avant l’application d’une peinture. Du côté du toit et du comble, le processus est tellement différent car parfois il faut déloger la toiture dans son ensemble.

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